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2016

 

 

 

 

 Bussière-Galant - Le monolithe du Pinsaud

2016

Néolithique ?

Emmanuel MENS

 

Située sur la partie sommitale du Grand Taillis de Charbonnier (Bussière-Galant), la pierre couchée du Pinsaud, Pinceau ou Pinson se présente comme un bloc de granite de forme allongée d’une longueur légèrement inférieure à trois mètres. Le bloc était connu depuis plusieurs années, mais il fut redécouvert au début de l’année 2000 suite à la tempête de 1999 par l’association ArchéA, faisant alors l’objet d’une fiche de signalement par Thomas Perrin dans le cadre de la prospection thématique « Préhistoire récente dans les Monts de Châlus ». Avant notre intervention, ce monolithe n’avait fait l’objet d’aucun sondage.

Le monolithe de 2,70 mètres de long, 93 cm de large et 69 cm d’épaisseur est en granite et pèse approximativement entre 4 et 5 tonnes. Un autre bloc de même nature géologique de dimension plus modeste (90x80x68 cm) gît à proximité. Très vraisemblablement, les deux blocs n’en formaient initialement qu’un seul, mais les nombreuses mortaises ou demi mortaises attestent d’un débitage historique très important. Le monolithe principal a des mortaises sur toutes ses faces ce qui prouve un prélèvement de matière massif. Visiblement ce monolithe était beaucoup plus volumineux, aussi bien dans sa longueur que dans sa largeur, avant l’intervention des carriers modernes.

Le monolithe apparaît isolé, aucune autre dalle volante n’a été identifiée à proximité et aucun affleurement n’est visible. La localisation et la morphologie du bloc plaident pour un menhir préhistorique, néanmoins l’hypothèse d’une borne médiévale ne pouvait pas être écartée, ce qui a motivé le sondage de septembre 2016.

Deux sondages ont été implantés pour un total de 16 m2. Le sondage 1 (8 m2) a été installé entre les blocs n°1 et 2 et à l’Ouest de ces derniers de façon à explorer les marges du site. Le sondage 2 (8 m2) avait pour objectif l’exploration de la partie est, à la recherche d’une éventuelle structure de calage.

Si le sondage 1 s’est révélé négatif, tant au niveau de l’absence de structures, que de mobilier archéologique, le sondage 2 s’est révélé beaucoup plus prometteur. A 1,20 mètre de l’extrémité actuelle du monolithe est apparu une concentration de blocs mélangeant gros et petits modules. Ces pierres ne sont géologiquement pas en place mais au contraire installées dans une structure en creux qui a d’ailleurs entamé un sol à polygones de dessiccation. Faute de temps, la fouille de cette structure n’a pu être menée à son terme, mais l’interprétation la plus probable est celle d’une fosse avec ses pierres de calage chamboulées par la chute du menhir. Aucun mobilier archéologique n’a été retrouvé à l’occasion de ce sondage.

L’apport du sondage de 2016 est d’avoir apporté des indices sérieux en faveur de la présence d’une structure de calage à l’est du plus grand monolithe. La suite du sondage qui est souhaité aura pour objectif d’apporter des informations sur les dimensions de cette fosse, sa géométrie, ainsi que sur la datation de son creusement.

Pinsaud

Fig. Le Pinsaud à Bussière-Galant (Haute-Vienne) : vue générale du site depuis l’Est avec structure de calage au premier plan (Cl. E. Mens)

 

 

2016

 

 

 

 

 

Les Cars - Le château - Les écuries - Sondages et étude du bâti

2016

Médiéval et moderne

Patrice CONTE

 

Bâtiment d’exception du début de l’époque moderne, les écuries du château des Cars font l’objet d’un projet d’étude, de sauvegarde et de valorisation porté par la Commune, propriétaire, l’association ArchéA et les services patrimoniaux de la Drac. Préalablement à la définition des travaux nécessaires et à l’élaboration du projet de site, une phase de recherches associant étude du bâti, sondages et analyses des peintures murales a été engagée par une équipe d’ArchéA et le SRA.

Le bâtiment est un vaste édifice rectangulaire d’environ trente-huit mètres de long pour une largeur de douze mètres (hors-œuvre) et 34 x 9.8 m dans l’œuvre en rez-de-chaussée. Une longue façade s’organise symétriquement de part et d’autre d’une porte centrale élargie et rehaussée au début de la seconde moitié du XXe siècle, lors de travaux destinés à permettre l’accès à des engins agricoles modernes (ces travaux ont concerné malheureusement aussi la voûte en berceau brisé qui a été détruite aux deux-tiers, avec les peintures qu’elle conservait). Deux jours équipent la façade en rez-de-chaussée. Une série de quatre jours carrés éclairent l’étage, qui correspondent au premier niveau de grenier des écuries, et sont surmontés au niveau des combles par des lucarnes à traverse décorées dans le style renaissant de frontons à motif de coquilles encadrés de pinacles et de pilastres ornés de disques sculptés, thèmes décoratifs que l’on retrouve également dans les épaves lapidaires découvertes lors des dégagements et fouilles du château et dans une maison contemporaine dans le village. La façade conserve localement les traces d’un enduit au décor de faux joints qui recouvrait la maçonnerie. Chaque pignon intègre deux ouvertures superposées permettant l’accès au grenier. Un escalier droit en pierre a toutefois été ajouté contre le pignon nord, probablement au XVIIIe s. Il intègre en remploi des éléments d’un ancien escalier en vis provenant d’une construction démantelée. Ainsi, si le gros œuvre du bâtiment est homogène, plusieurs observations témoignent de compléments ou de réfections au rang desquelles il faut probablement associer une différence dans le mode de construction des parties sommitales des murs qui pourrait correspondre à une modification ou adaptation de la charpente qui recouvrait les écuries (l’étude de la charpente, prévue, mais non encore menée, devra documenter cette question).

L’approche sédimentaire a d’abord consisté à retirer la couche compacte de terre battue qui recouvrait presque intégralement le sol intérieur. L’opération a révélé, sur une surface d’environ 330 m2, une calade de moellons formant le sol fonctionnel des écuries. Un relevé complet de cet aménagement (P .Mora, Archéotransfert/ Pessac), complété par des relevés de détail et des relevés lasergrammétriques (E. Balbo, Archéoscan/ArchéA/Limoges) a permis une première lecture de l’organisation de l’espace du rez-de-chaussée des écuries marqué par la présence d’un canal central, d’un revers pavé sur un des grands côtés de la pièce et de plusieurs ancrages de poteaux et murets formant une partition de l’espace pour les animaux, la plupart arasés au niveau de la calade.

Sept sondages ont par ailleurs permis de compléter les données stratigraphiques et d’apporter des informations inédites sur les structures bâties. Deux ont été réalisés à l’extérieur du bâtiment, à son contact le long de sa façade orientale. L’un a permis de confirmer la présence d’une nouvelle calade, moins soignée que celle de l’intérieur du bâtiment mais intégrant un revers pavé à l’aplomb de l’égout du toit et se développant vers le centre de la cour où l’on soupçonne la présence d’un vestige de type bassin ou fontaine, aujourd’hui disparu. Le second sondage extérieur, ouvert à l’angle sud-est de la façade confirme l’étendue de l’aire pavée extérieure le long du mur de façade et révèle également la présence d’un fossé, au pied et le long même du mur des écuries, antérieur à la réalisation de la calade.

Cinq autres sondages ont été réalisés à l’intérieur, profitant des lacunes existantes dans la calade. Si leur emprise était de fait limitée, ils ont toutefois permis d’effectuer de nouveaux constats sur le bâtiment, sa construction et la chronologie de son implantation. Ainsi, l’emprise et la forme de la porte cochère originelle a pu être restituée ainsi que le mode de fondation des murets séparatifs initialement présents le long du mur oriental des écuries. Si les deux sondages réalisés dans la partie nord de l’édifice témoignent d’une construction du bâtiment à partir du sol géologique préalablement nivelé, les deux ouverts dans la partie sud montrent une tout autre organisation stratigraphique dans laquelle la fondation du mur des écuries recoupe des niveaux de sédiments plus anciens, probablement associés au remplissage d’une vaste structure indéterminée (fossé ?). Les quelques témoins céramiques issus de cette couche antérieure suggèrent un abandon remontant à la période médiévale que corrobore une datation C14 calibrée 1271-1391. Cette partie du bâtiment des écuries se fonderait donc, pour partie, à l’emplacement de structures plus précoces que l’on se propose d’identifier à la basse-cour du château médiéval situé à une centaine de mètres de distance.

Enfin, l’étude des peintures de la partie de voûte encore conservée (soit environ 1/3 de la voûte originelle) a été poursuivie par l’équipe suite à leur restauration partielle en 2010 (Restauration : V. Halalau). Bien que très lacunaire le programme pictural de peintures équestres reste remarquable et ne peut guère être comparé qu’à celui des écuries du château de Villeneuve-Lambron (Puy-de-Dôme), dont la chronologie est voisine. Aux Cars, l’analyse permet de distinguer plusieurs registres restituant une organisation hiérarchisée des thèmes picturaux qui semblent ignorer la référence mythologique: au-dessus d’un registre inférieur dédié à des inscriptions, dont malheureusement ne subsiste qu’un fragment illisible, se développe le thème des « grands chevaux » montés ou non et de voitures hippomobiles formant un premier plan pour l’observateur. Au-dessus, le registre suivant séparé du précédent par la représentation de clôtures de bois, forme un arrière-plan où l’on peut distinguer d’autres scènes équestres parmi lesquelles plusieurs séquences d’un tournoi. Enfin, le faîte de la voûte est décoré d’une succession de médaillons ronds ou ovales dont certains figurent un chiffre formé d’une lettre « F » entrelacée à deux « C » en miroir. Ce dernier ornement, fréquent à la Renaissance offre un argument chronologique pour l’origine du bâtiment que l’on est tenté d’attribuer à François des Cars, mort en 1604 et comte des Cars vers 1546. Une série de quatorze mesures dendrochronologiques réalisées sur la charpente et le plancher des combles (analyses : Ch. Belingard) orienterait également la construction de l’édifice entre 1551 et 1574, avec quelques remplois antérieurs, probablement des années 1497/1498.

Les écuries du château des Cars constituent ainsi un exemple exceptionnel d’architecture équestre du milieu du XVIe siècle en Limousin. Son étude n’est pas tout-à fait finalisée (l’analyse de la charpente reste à mener en détail, ainsi que peut être quelques sondages complémentaires en extérieur) mais l’organisation, l’architecture et la datation de l’édifice s’avèrent cependant désormais mieux connues au terme de cette phase de l’étude.

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Fig.1 : Ecuries du château des Cars : relevé/coupe transversale montrant les différents niveaux intérieurs du bâtiment, dont le reliquat de voûte du rez-de-chaussée (lasergrammétrie : E. Balbo, ArchéoScan/ArchéA).

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Fig.2 : Dessin d’après relevés d’une partie des peintures équestres des écuries (mur nord-est) (dessin : P. Conte).

 

 

2016

 

 

 

 

 

Limoges - Cavités du Centre-ville médiéval, prospection thématique

2016

Moyen Âge, époque moderne, époque contemporaine

Eric BALBO

 

La prospection thématique sur les cavités souterraines de Limoges, réalisée en 2016, fait suite à celles de 1982 et 2006. L’objectif de celle-ci était, outre d’étudier les caractéristiques et l’évolution architecturale de ces structures, de contribuer, tant que faire se peut, à vérifier la pertinence de saisir des traces de la trame urbaine médiévale.

Pour des raisons d’opportunités et de cohérence (études précédentes sur des îlots urbains voisins) la présente prospection a été circonscrite dans le périmètre des rues du Consulat, Ferrerie, Temple et Jean Jaurès. L’organisation spécifique du sous-sol de Limoges nous de contraint de prendre également en compte l’assise des rues adjacentes.

A Limoges, le bâti de surface n’a laissé que des éléments médiévaux épars. Les enveloppes complètes sont quasiment inexistantes en l’état de la recherche. Cependant des études antérieures et des documents graphiques, avant destruction, permettent d’esquisser un tableau de l’architecture domestique urbaine de Limoges. Ce constat étant fait, il nous semble toujours pertinent de rechercher en sous-sol quelques réponses aux nombreuses interrogations posées sur la maison médiévale à Limoges, tout au moins dans ses soubassements, leurs connexions et leurs distributions avec le bâti de surface.

Cette prospection a permis, dans un premier temps, de formaliser des données acquises antérieurement (archives ou relevés) puis d’en réunir de nouvelles au gré des possibilités d’accès données par les propriétaires. Elle a ainsi permis d’étudier et de documenter quatorze unités souterraines avec la réalisation de deux relevés planaires et douze en 3D, ainsi que des renseignements sur vingt-sept parcelles.

Une première analyse des données permet, dès à présent, de dégager quelques constats. Certaines informations montrent, que même antérieurement au plan d’alignement dit de « Trésaguet » de 1765-68, certaines maisons empiétaient de façon importante sur le domaine public actuel. Nous pouvons le constater de façon probante rue Ferrerie où certaines caves se développent sous la rue à faible profondeur (extrados des voûtes entre 0,65 et 1,65 m sous le sol actuel) et qui n’ont pu perdurer jusqu’à nos jours que grâce au recouvrement antérieur par une enveloppe maçonnée de surface. Dans cette même rue, l’élaboration des sous-sols s’est fait en concordance des limites parcellaires actuelles qui pourraient reprendre celles de l’emprise du complexe défensif de l’ancienne motte castrale. Obsolète semble-t-il à partir du courant du XIIIe siècle, puis abandonnée en tant qu’élément de défense, elle est ensuite très progressivement lotie. Il serait profitable d’amplifier l’étude de cette zone, afin de déterminer si toutes les cavités souterraines de second niveau creusées ou construites à partir du côté pair de la rue respectent la limite supposée de l’emprise castral, en tentant de proposer une datation pour celles-ci.

Si l’exemple précédent semble montrer une trame urbaine sensiblement différente de celle du XVIIIe siècle, fossilisée jusqu’à aujourd’hui, plusieurs autres sites suggèrent l’établissement d’hôtels urbains des XVIIe et XVIIIe siècles sur des substructions médiévales. L’échantillon le plus significatif de cet état se développe sous l’hôtel Bourdeau-de-Lajudie, au bas de la rue du Consulat, qui, sur une superficie de 466 m2, comprend au moins quatre structures souterraines antérieures vraisemblablement, en grande partie, médiévales.

À part les basses-caves de l’ancienne maison Beauvieux du XIIIe siècle qui ont été entrevues il y a quelques années, la seule autre cave médiévale conservée du secteur est celle de l’ancien hôtel Muret, rue du Temple qui fut l’objet d’une étude spécifique intégrée à celle de l’ensemble de l’édifice médiéval.

Enfin, cette opération menée par l’association ArchéA a également permis de tester et d’adapter, dans ce milieu difficile, les techniques de relevés 3D (lasergrammétrie et photogrammétrie) désormais mis en œuvre par l’équipe.

Limoges

 

2016

 

 

 

 

 

Saint-Amand-le-Petit - Tras-Rieux - Sondage

2016

Médiéval et moderne

Patrice CONTE

 

Des travaux de terrassement aux abords de l’une des maisons du hameau actuel de Tras-Rieux ont révélé un ensemble de vestiges archéologiques médiévaux et moderne. Suite à information par le propriétaire, une petite opération de sondage a été menée par une équipe de l’association ArchéA et un agent du SRA.

Les structures découvertes initialement, puis documentées dans le cadre de l’opération archéologique, appartiennent à deux catégories de vestiges relevant de deux périodes différentes.

Le premier ensemble (zone 1) correspond à un groupe de 4 fosses/silos situé dans la partie orientale de la zone étudiée. Si les deux premières ont été presque entièrement vidées avant l’intervention archéologique, deux autres structures comparables ont pu livrer les restes de leur stratigraphie d’abandon et quelques rares éléments de mobilier archéologique parmi lesquels on notera la présence d’une grande dalle plate arrondie pouvant correspondre à l’opercule originel de l’une des fosses. Trois trous de poteaux creusés dans le substrat granitique ont par ailleurs été découverts en limite de fouille et suggèrent la présence d’un bâtiment sur poteaux ancrés, soit directement au-dessus des silos, soit à leur immédiate proximité. Ici, seul un décapage plus large permettrait de préciser l’organisation de cette construction. Une datation C14 menée sur les charbons adhérents à la base de la paroi de l’un des silos les mieux conservés (Fs.2) livre un âge calibré de 880 à 1012 ap. J.-C. avec un maximum de probabilité de 880 à 998 ap. J.-C.

Le second ensemble est séparé du précédent par une cave bâtie à contre-terrier encore conservée, type d’annexe agricole fréquente dans les habitats de la montagne limousine. Au nord de cette cave, la rectification de la coupe produite par les travaux de terrassements a révélé une stratigraphie et plusieurs structures évoquant la présence d’un bâtiment : restes d’un probable foyer et d’un pavage grossier en pierre, reliquat d’un mur délimitant le bâtiment et stratigraphie incluant, sous une séquence de plusieurs couches d’abandon/destruction, une couche d’occupation reposant sur le pavage. Les quelques tessons découverts dans ces contextes orientent la datation de cette zone entre la fin du Moyen Âge et la fin de l’époque moderne. Il est à noter, qu’en contre-haut de ces vestiges, à quelques mètres vers le sud-est, sont encore visibles dans un sous-bois plusieurs anomalies topographiques masquant d’autres bâtiments, probablement encore plus récents (XVIIIe-XIXe s.?) comme en témoignent par exemple, les restes d’un four domestique et un chemin ancien bordé de murets en pierre-sèche.

Au bilan, cette petite opération de sauvetage/sondage a permis de mieux circonscrire plusieurs structures liées à une occupation plus ancienne que celle admise généralement pour ce type de hameau représentatif de l’habitat dispersé limousin en faisant, dans le cas présent, remonter la plus ancienne occupation du site entre la fin du IXe s. et la fin du Xe s. Réduite dans son ampleur, l’opération s’avère malgré tout largement positive en alimentant la question de l’origine de l’habitat intercalaire dérivé du manse médiéval en Montagne limousine. La reproduction de ce type d’opération, même limitée, serait de nature à contribuer à une meilleure connaissance de l’évolution de l’habitat rural au Moyen Âge et à l’époque moderne, pour peu que de telles découvertes soient portées à connaissance, cas de figure plutôt rare dont le site de Tras-Rieux a pu bénéficier grâce aux informations livrées par le propriétaire du site.